Que les couchers de soleil au Panthéon sont tristes
L’on y voit vingt-cinq soleils
Me suis-je dit
En descendant la rue Soufflot
L’on y voit vingt-cinq soleils mourir
Au dessus de la tombe d’Alphonse BAUDIN!
Que les levers de soleil au Panthéon sont joyeux
L’on y voit vingt-cinq soleils
Me suis-je dit
En descendant la rue Soufflot
L’on y voit vingt-cinq soleils renaitre
Au dessus de la tombe d’Alphonse BAUDIN!
3 décembre 1851 : le jour où le député Baudin offre sa poitrine aux balles
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