Cérémonie du 9 Thermidor An CCXXXIII
(27 juillet 2025)
Titre : La Fête du Festin Écarlate
Dédicace à Alfred JARRY
cocréateurs: GROK; Yves-Denis Delaporte
Lieu : Une place publique transformée en un théâtre cauchemardesque. L’estrade centrale, entourée de chaînes rouillées et de torches crachant une fumée noire et rouge, soutient un buste de Robespierre sculpté en massepain rouge sang, avec des traits exagérément sinistres (yeux en bonbons noirs, bouche tordue dégoulinant de sirop rouge). Des cordes tendues évoquent une guillotine symbolique, et des flaques de liquide rouge (peinture non toxique) maculent le sol. Des écrans géants diffusent des images glitchées d’exécutions révolutionnaires, mêlées de motifs cannibales stylisés.
Ambiance : Une atmosphère oppressante et malsaine, où la solennité républicaine bascule dans l’horreur grotesque. La musique, jouée par un orchestre mêlant tambours funèbres, violons stridents, orgues dissonants et hurlements électroniques, crée un climat de terreur théâtrale. Des rires déments et des cris étouffés ponctuent la cérémonie.
Costumes :
Acte I : La Procession des VoracesDescription : La cérémonie débute dans une obscurité totale, brisée par le son d’un glas funèbre et de chaînes traînées sur le sol. Les corps constitués entrent en procession, leurs masques blancs luisant comme des crânes sous les torches. Les enseignants, brandissant des torches éteintes (allumées plus tard pour un effet dramatique), encadrent les enfants, qui avancent en claquant des dents de manière ritualisée, comme des prédateurs affamés. La foule des parents, massée autour de l’estrade, murmure des imprécations cannibales (« La glaise est chair, la chair est nôtre ! »), tandis que des fumées rouges et noires enveloppent la scène.
Chanson : « Ô Festin des Ombres Rouges »
Interprètes : Les corps constitués et les enseignants, en chœur, sur une mélodie lugubre mêlant tambours lourds, chœurs graves et éclats de rires déments.
Paroles complètes
Mise en scène : Les corps constitués balancent des encensoirs dégageant une fumée rouge sang, tandis que les enseignants allument leurs torches, révélant les visages peints des enfants, qui montrent les dents en rythme. La foule des parents, éclairée par des projecteurs vacillants, jette des pétales rouges et des miettes de massepain dans l’air, comme une offrande sacrificielle. La chanson, sombre et cannibale, glorifie Thermidor comme un banquet de purification, mais son ton exagéré trahit une satire des excès révolutionnaires.
Symbolisme : Le « festin des ombres rouges » évoque la Terreur comme une orgie de violence, tout en moquant les rituels républicains qui transforment la destruction en célébration.
Acte II : La Danse des Crocs
Description : Un orateur, vêtu d’une cape noire imbibée de sirop rouge et d’un masque brisé révélant des dents peintes, grimpe sur l’estrade. Son discours est une tirade nihiliste : « La République des Grandes Coalitions se nourrit de la chair de ses idoles ! Que le massepain de Robespierre soit dévoré par les innocents affamés ! » Il cite Rousseau (« La volonté générale dévore ses ennemis ») et glisse des provocations modernes (« Que les algorithmes mâchent la liberté ! »). Les enfants entament une chorégraphie cannibale, tournant autour du buste en claquant des dents et en brandissant leurs poignards comme des outils de boucherie. Leurs mouvements, convulsifs et bestiaux, évoquent une meute prête à dévorer.
Chanson : « La Chair Sucrée Saignera »
Interprètes : Les enfants, en chœur, sur une musique stridente mêlant violons grinçants, percussions chaotiques et hurlements gutturaux.
Paroles complètes :
Mise en scène : Les enfants, les yeux brillants sous leurs peintures de crocs, frappent l’air avec leurs poignards et claquent des dents en rythme. À chaque refrain, ils s’approchent du buste, mimant des morsures. Les enseignants brandissent des bannières avec des slogans comme « La vertu mord ! ». La foule des parents, dans une transe feinte, jette des miettes de massepain au sol, simulant une orgie alimentaire.
Symbolisme : La chanson, avec ses images de cannibalisme et de destruction, caricature la violence de la Terreur tout en moquant l’idée de pureté républicaine. Le massepain, sucré mais sanglant, symbolise la perversion des idéaux révolutionnaires.
Acte III : Le Sacrifice et le Festin
Description : Le climax macabre. Les enfants, sous les hurlements des corps constitués et des parents, s’approchent du buste de massepain. Chaque coup de poignard fait jaillir des fragments sucrés et du sirop rouge (non toxique), qui coule comme du sang. Les enseignants scandent des imprécations (« Que la chair du tyran soit consumée ! »), tandis que les corps constitués ôtent leurs masques, révélant des visages peints de motifs cannibales. La foule hurle des insultes : « Tyran de sucre ! », « Faux prophète ! », « Nourriture des vertueux ! ». Puis, dans un crescendo d’horreur théâtrale, les enfants se jettent sur le buste brisé, arrachant des morceaux de massepain avec leurs mains et leurs dents, dévorant la « chair » sous les applaudissements frénétiques. Du sirop rouge tache leurs visages, créant une image de banquet sacrificiel.
Chanson : « Thermidor, Festin des Cendres »
Interprètes : Toute l’assemblée, sur un air chaotique mêlant tambours martiaux, orgues funèbres et hurlements électroniques.
Paroles complètes :
Mise en scène : À chaque coup, des jets de sirop rouge jaillissent du buste, éclaboussant les enfants, qui feignent une frénésie cannibale. Les corps constitués agitent des chaînes, produisant un bruit métallique terrifiant. La foule, certains à genoux dans les flaques de sirop, hurle le refrain en jetant des confettis noirs (cendres symboliques). Lorsque les enfants dévorent le massepain, des fumées noires enveloppent l’estrade, et des projecteurs projettent des ombres déformées des enfants sur les écrans.
Symbolisme : Le festin cannibale parodie les exécutions de la Terreur, transformant la violence en un acte de consommation grotesque. Le massepain, à la fois doux et sanglant, symbolise la perversion des idéaux républicains en une orgie nihiliste.
Acte IV : La Purification Cannibale
Description : Les restes du buste – miettes de massepain et sirop rouge – sont ramassés dans une urne noire ornée de dents sculptées, portée en triomphe par les enfants jusqu’à une fosse entourée de flammes. L’orateur conclut par une tirade démente : « Thermidor nous enseigne : la République se nourrit de ses idoles ! Que la faim des vertueux purifie la nation ! » Les enfants jettent l’urne dans la fosse, déclenchant une explosion pyrotechnique de flammes rouges et noires. La foule se disperse en silence, certains essuyant le sirop rouge de leurs visages, comme des complices d’un crime théâtral.
Dédicace à Alfred JARRY
cocréateurs: GROK; Yves-Denis Delaporte
Lieu : Une place publique transformée en un théâtre cauchemardesque. L’estrade centrale, entourée de chaînes rouillées et de torches crachant une fumée noire et rouge, soutient un buste de Robespierre sculpté en massepain rouge sang, avec des traits exagérément sinistres (yeux en bonbons noirs, bouche tordue dégoulinant de sirop rouge). Des cordes tendues évoquent une guillotine symbolique, et des flaques de liquide rouge (peinture non toxique) maculent le sol. Des écrans géants diffusent des images glitchées d’exécutions révolutionnaires, mêlées de motifs cannibales stylisés.
Ambiance : Une atmosphère oppressante et malsaine, où la solennité républicaine bascule dans l’horreur grotesque. La musique, jouée par un orchestre mêlant tambours funèbres, violons stridents, orgues dissonants et hurlements électroniques, crée un climat de terreur théâtrale. Des rires déments et des cris étouffés ponctuent la cérémonie.
Costumes :
- Corps constitués : Toges noires déchirées, tachées de sirop rouge, avec des masques blancs ornés de dents peintes, évoquant des bourreaux cannibales.
- Enseignants : Toges pourpres funéraires, avec des capes traînantes ornées de citations de Rousseau (« La vertu dévore ses ennemis ») en lettres écarlates.
- Enfants : Costumes de sans-culottes maculés de peinture rouge, visages peints avec des motifs de crocs ou de larmes sanglantes, tenant des poignards en bois sculptés comme des lames sacrificielles.
- Parents : Vêtements modernes délabrés, avec des écharpes tricolores tachées de rouge, comme des survivants d’un banquet macabre.
Acte I : La Procession des VoracesDescription : La cérémonie débute dans une obscurité totale, brisée par le son d’un glas funèbre et de chaînes traînées sur le sol. Les corps constitués entrent en procession, leurs masques blancs luisant comme des crânes sous les torches. Les enseignants, brandissant des torches éteintes (allumées plus tard pour un effet dramatique), encadrent les enfants, qui avancent en claquant des dents de manière ritualisée, comme des prédateurs affamés. La foule des parents, massée autour de l’estrade, murmure des imprécations cannibales (« La glaise est chair, la chair est nôtre ! »), tandis que des fumées rouges et noires enveloppent la scène.
Chanson : « Ô Festin des Ombres Rouges »
Interprètes : Les corps constitués et les enseignants, en chœur, sur une mélodie lugubre mêlant tambours lourds, chœurs graves et éclats de rires déments.
Paroles complètes
_« Ô festin des ombres rouges,
La chair de l’idole sous nos bouches bouge !
Thermidor, jour de sang et de faim,
Dévore les tyrans, ouvre le chemin !
(Refrain)
Sous le glaive, la République dévore,
La vertu saigne, la chair s’évapore !
Ô Coalition, spectre des aïeux,
Ton feu consume les cieux silencieux !
Les idoles sucrées, par notre courroux,
Sous nos dents s’effritent, à genou !
(Refrain)
Sous le glaive, la République dévore,
La vertu saigne, la chair s’évapore !Le peuple affamé, par son serment,
Mord la République, jusqu’au firmament ! »_
Symbolisme : Le « festin des ombres rouges » évoque la Terreur comme une orgie de violence, tout en moquant les rituels républicains qui transforment la destruction en célébration.
Acte II : La Danse des Crocs
Description : Un orateur, vêtu d’une cape noire imbibée de sirop rouge et d’un masque brisé révélant des dents peintes, grimpe sur l’estrade. Son discours est une tirade nihiliste : « La République des Grandes Coalitions se nourrit de la chair de ses idoles ! Que le massepain de Robespierre soit dévoré par les innocents affamés ! » Il cite Rousseau (« La volonté générale dévore ses ennemis ») et glisse des provocations modernes (« Que les algorithmes mâchent la liberté ! »). Les enfants entament une chorégraphie cannibale, tournant autour du buste en claquant des dents et en brandissant leurs poignards comme des outils de boucherie. Leurs mouvements, convulsifs et bestiaux, évoquent une meute prête à dévorer.
Chanson : « La Chair Sucrée Saignera »
Interprètes : Les enfants, en chœur, sur une musique stridente mêlant violons grinçants, percussions chaotiques et hurlements gutturaux.
Paroles complètes :
_« Chair sucrée, idole maudite,
Ton spectre suinte, nos bouches excitées !
D’un coup de lame, nous te déchiqu’tons,
Ta chute nourrit nos révolutions !
(Refrain)
La chair saignera, le massepain fondra !
Thermidor rugit, la faim vaincra !
Enfants voraces, nos crocs dansent,
Pour la Coalition, brisons l’errance !
Tyran de sucre, ton règne pourrit,
Sous nos dents, ton ombre s’enfuit !
(Refrain)
La chair saignera, le massepain fondra !
Thermidor rugit, la faim vaincra !La République, par nos bouches pures,
Dévore tes restes, ô figure obscure ! »_
Symbolisme : La chanson, avec ses images de cannibalisme et de destruction, caricature la violence de la Terreur tout en moquant l’idée de pureté républicaine. Le massepain, sucré mais sanglant, symbolise la perversion des idéaux révolutionnaires.
Acte III : Le Sacrifice et le Festin
Description : Le climax macabre. Les enfants, sous les hurlements des corps constitués et des parents, s’approchent du buste de massepain. Chaque coup de poignard fait jaillir des fragments sucrés et du sirop rouge (non toxique), qui coule comme du sang. Les enseignants scandent des imprécations (« Que la chair du tyran soit consumée ! »), tandis que les corps constitués ôtent leurs masques, révélant des visages peints de motifs cannibales. La foule hurle des insultes : « Tyran de sucre ! », « Faux prophète ! », « Nourriture des vertueux ! ». Puis, dans un crescendo d’horreur théâtrale, les enfants se jettent sur le buste brisé, arrachant des morceaux de massepain avec leurs mains et leurs dents, dévorant la « chair » sous les applaudissements frénétiques. Du sirop rouge tache leurs visages, créant une image de banquet sacrificiel.
Chanson : « Thermidor, Festin des Cendres »
Interprètes : Toute l’assemblée, sur un air chaotique mêlant tambours martiaux, orgues funèbres et hurlements électroniques.
Paroles complètes :
_« Thermidor, festin des cendres,
La chair sucrée dans nos bouches tendres !
Le tyran fond, son règne est mort,
La Coalition dévore son sort !
(Refrain)
Mords, mords, que le sucre éclate !
Thermidor rugit, la faim combat !
Sous les crocs rouges, le peuple s’élève,
La République vit, son festin s’achève !
Ô idole fondante, ton sang coule à flots,
(Refrain)
Mords, mords, que le sucre éclate !
Thermidor rugit, la faim combat !Dans la nuit thermidorienne, plus de repos !
Unis par la faim, unis par l’effroi,
Nous mâchons les ruines du faux roi ! »_
Symbolisme : Le festin cannibale parodie les exécutions de la Terreur, transformant la violence en un acte de consommation grotesque. Le massepain, à la fois doux et sanglant, symbolise la perversion des idéaux républicains en une orgie nihiliste.
Acte IV : La Purification Cannibale
Description : Les restes du buste – miettes de massepain et sirop rouge – sont ramassés dans une urne noire ornée de dents sculptées, portée en triomphe par les enfants jusqu’à une fosse entourée de flammes. L’orateur conclut par une tirade démente : « Thermidor nous enseigne : la République se nourrit de ses idoles ! Que la faim des vertueux purifie la nation ! » Les enfants jettent l’urne dans la fosse, déclenchant une explosion pyrotechnique de flammes rouges et noires. La foule se disperse en silence, certains essuyant le sirop rouge de leurs visages, comme des complices d’un crime théâtral.
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