Une ode
Pour
VENUS
Ou les colonnes de poussières
A la lumière
Orange
D'Apollon
Que j'agite
Le matin
A l'aube
Pour les distraire de leur course et les entrechoquer dans leur pente fatale
Et les faire sonner
Au vent aquilin
En fait
Quelle différence
S'interroge
Enfant
Le Philosophe
Adulte
Un peu trop Poète
S'endormant à la lumière de l'étoile du berger
Sur les rouleaux
Déployés
De
La nature des choses...
Dors
Les atomes croient en toi
LUCRECE
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire